20 juillet 2014
Comme un au revoir
Sillon des âges dépassés Le visage s’étire encore Et sous un murmure effilé Ses lèvres caressent le temps La lune brille sur sa main Qui tremblement des âges Dort au seuil tout ému D’une chambre jaunie Et fragile regard d’enfance Son souvenir s’éparpille...