23 août 2014
La couleur de l'albâtre
Terre verte de l’été
Sous le labour du rêve
Et l’iris d’un regard
Qui d’infini me trouble
Et le vent si vite grisé
Sous un frisson d’envie
Et tes lèvres murmurées
Qui d’inconnu me parlent
Alors une mansarde jaunie
Sous la vague des sens
Et l’aube d’une caresse
Qui si vite m’affole
Et cette pensée d’albâtre
Sous la main tremblante
Puis la joie d’un cœur battant
Qui divin m’offre la Vie
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